Une discussion entre mentor et mentoré aura plus d’impact si elle est d’ordre technique qu’introspectif.
Vrai et Faux !!!
Vrai et Faux !!!
Selon la théorie de Clutterbuck, le type de communication doit être choisie en fonction du besoin du mentoré, et du stade de développement de la relation. Par exemple, une communication de type introspective ne serait pas forcément adéquate à la première rencontre puisqu’en début de relation la priorité est davantage d’apprendre à se connaitre en utilisant une communication dite « sociale ».
Un mentor se doit de trouver le bon conseil pour un enjeu de son mentoré.
Excellent !
Mauvaise réponse !!!
Un mentor doit surtout être présent pour accompagner la réflexion du mentoré, pas nécessairement donner une réponse extérieure au mentoré. La personne mentoré devra trouver elle-même ses propres réponses. Le mentor peut par exemple partager ses expériences qu’elles soient positives ou négatives (on apprend aussi de nos difficultés) pour questionner, nuancer et faciliter la prise de décision. D’ailleurs, une posture toxique pour une relation mentorale serait celle du savoir supérieur du mentor (« savoir à la place de l’autre ») qui pourrait infantiliser le mentoré.
Au Programme de mentorat FMOQ, en tant que mentor/mentoré je serai accompagné et soutenu pendant au moins un an
Faux !!!
Vrai !
Le Programme de mentorat FMOQ propose deux journées de formation pour vous accompagner dans l’acquisition de votre nouveau rôle (au début et à la mi-parcours), trois suivis téléphoniques personnalisés, ainsi qu’une fête de clôture. La coordonnatrice est aussi disponible par courriel ou téléphone pour toutes demandes d’informations ou interrogations.
Il est du devoir du mentor d’expliquer au mentoré comment faire le travail de médecin omnipraticien.
Mauvaise Réponse !
Excellent !!!
Le but du mentorat n’est pas de dicter le travail en tant que tel, il faut plutôt être centré sur les besoins du mentoré afin de l’aider à se révéler à lui-même. L’aider à se révéler à lui-même, c’est-à-dire, l’aider à découvrir ses forces, cerner ses défis et soutenir le développement d’une vision pour sa carrière professionnelle, autrement dit, soutenir et favoriser la réalisation de son rêve de vie.
Une bonne manière de stimuler la relation avec mon mentoré est d’écouter de façon attentionnée et sans essayer de convaincre.
Excellent !!!
Mauvaise Réponse !
L’écoute authentique est fondamentale dans le développement d’une bonne relation.
Le mentor retire lui aussi des bénéfices quant à la relation mentorale.
Excellent !!!
Mauvaise Réponse !
De nombreux bénéfices ont été nommés par les mentors ayant participé au Programme de mentorat FMOQ, comme entres autres, une redynamisation de la carrière professionnelle, une meilleure compréhension de la nouvelle génération et ses enjeux, la récompense de contribuer au développement d’un jeune médecin, etc.
Il est important qu’un mentor maitrise l’ensemble de son rôle dès le début du programme.
Excellent !!!
Mauvaise Réponse !
On ne nait pas mentor on le devient avec le temps. C’est un rôle qui se développe à travers les journées de formation, les ressources disponibles, et bien sûr l’expérience d’être mentor.
Faire de la supervision et de l’enseignement permet de développer des compétences pour être mentor.
Excellent !!!
Vrai et faux. Certaines fonctions du mentor diffèrent de celles du superviseur et de l’enseignant (consulter la grille synthèse). Le rôle du mentor est de soutenir la réflexion du mentoré et non de lui donner les réponses. Bien sûr, il peut arriver de proposer des suggestions à des situations plus urgentes ou très « pratico-pratiques », mais ce n’est pas la fonction principale. Le rôle du mentor est aussi d’offrir son écoute et de soutenir avec une attitude de non-jugement.
Selon vous, quelles sont les fonctions du mentor ?
✓ Toutes ces réponses! L’auteure Renée Houde (2010) a déterminé ces douze fonctions chez le mentor. Bien sûr, vous n’exercerez pas forcément toutes ces fonctions dans votre relation mentorale. Il est important de prendre en compte les besoins du mentoré pour exercer telle ou telle fonction. Et vous, en tant que mentor, comment vous évaluez-vous par rapport à ces fonctions ? Faites le test !.
Quels éléments sont présents dans une relation mentorale par opposition à une relation de coaching ou de supervision? Cochez les bonnes réponses.
✓ Une relation mentorale est une relation d’égal à égal. Le mentor n’est ni un supérieur hiérarchique, ni un superviseur, mais bien un collègue ayant plus de vécu professionnel. Le mentoré pourra se fixer des objectifs professionnels et personnels dans cette relation, mais ceux-ci ne feront pas l’objet d’une évaluation. Ces objectifs permettront au mentoré de guider sa réflexion, alimenter les conversations avec son mentor et prendre conscience de son propre développement au fur et à mesure des mois. La relation mentorale est une relation à moyen-long terme. Elle prend fin lorsque le mentoré et le mentor décident d’y mettre fin.